ais lessituations sont contrastées. Côté hébergements, Paris & l’Ile-de-Francen’ont pas fait mieux qu’avant les Jeux Olympiques, et les grandes métropoles(-10% à Lyon, -6% à Marseille, -27% à Lille…) ont aussi souffert de lacomparaison avec le riche calendrier évènementiel de l’été 2024.
Mais toutn’est pas négatif : A l’inverse, l’activité a été soutenue par la bonnedynamique des littoraux (+5,1% de RevPAR), de la montagne (+7,6%) ou des destinations alternatives,comme l’Intérieur Sud-Est (+5,4%) ou certaines villes moyennes attractives pourles clientèles loisirs. Cela a permis à l’activité en régions (hors IDF) de semaintenir dans le vert : +2,2%. Et à l’échelle française, la comparaison avecl’été 2023 pré-JOP reste favorable (+5,6%).
Lafréquentation est même en légère hausse relativement à l’été dernier (+1,2%),mais cela a été obtenu au prix de reculs parfois significatifs du prix moyen.
C’est laconséquence directe des arbitrages rendus nécessaires par les enjeux de pouvoird’achat : les français ont choisi debien partir en vacances, mais en se serrant la ceinture sur les dépensesjournalières.
Mêmes causesmêmes conséquences en agences de voyage, avec des départs de français moinsnombreux (-6,6%). Et les prises de réservations ont continué de se contracteren août (-4%)