i à date les réservations pour l’été s’affichent en baisse, c’est donc principalement à cause d’un effet « early booking » enIle-de-France l’an dernier, où la baisse des réservations devrait être compensée par des « late bookings » et donc à une fréquentation stable, mais à des prix plus traditionnels.
Hors semainesJOP, en dépit de ce recul francilien, les perspectives nationales sont stables: c’est parce que d’autres secteurs, tels que le littoral atlantique &breton, les Alpes ou la campagne en moitié Sud de la France, ont cette année de nouveau la cote.
A l’inverse, la Côte d’Azur voit sa fréquentation se tasser légèrement relativement à un millésime 2024 exceptionnel (avec des reports de clientèle internationale« traditionnelle » non olympique séjournant en France ailleurs qu’àParis), mais 2025 restera très bon relativement à 2023.